Le récit écrit posé sur la table d'écriture parle d'une terre d’accueil estrienne, Saint-Élie d’Orford. J’y explore la question du territoire d’origine comme noyau
identitaire.
Les paysages humanisés que je mets en forme dans cette installation témoignent de mon désir de rendre visibles les interrelations évoluant à
l’intérieur des écosystèmes. Il en émane alors une réelle célébration du vivant, stratégie visant à interpeller les mémoires collectives. À l’intérieur de l’installation, véritable système
relationnel, j’évoque le milieu naturel comme un tout sacré, un ensemble inviolable.